Mes
mains,
mes
amis,
n'habitent
pas avec moi.
Elles
et ils volent
comme
les oiseaux blancs.
Aile
dans la aile,
main
dans la main,
ce
n´est pas pour aujourd´hui.
Imagem: "Las manos cortadas", cópia de desenho original de Federico García Lorca.
Olá, apesar do meu "francês" não ser lá aquelas coisas, encantei-me com a postagem só ver um desenho de Lorca. Parabéns!
ResponderExcluirAproveito para desejar-lhe um felicíssimo final de semana; pleno de paz e amor...
Nem o meu, caro amigo, nem o meu.
ExcluirMãos de pianista e poeta, tão cedo e cruelmente ceifadas. Mas eu as vejo brotando...
Ótimo final de semana para você também. Obrigado pela visita.
Abraço.
Gilson.
...il est très beau ce poème et le dessin qui l'accompagne aussi.
ResponderExcluirJ'aime dire que les mains sont des oiseaux légers.
Qu'elles sont "bavardes" lorsqu'elles travaillent la terre, la céramique, lorsqu'elles créent, lorsqu'elles sont occupées à la douceur des caresses.
Fabienne, merci!
ExcluirMais c´est impossible: le "poème" est à moi (il a sorti de mes propres mains)... Le dessin, ah, oui, il est à Lorca, l´unique vraimment surrealiste.
Merci aussi par "...le mains... oiseaux légers... à la doucer des caresses". Des images rares, de grande sensibilité.
Cet modeste espace se sent agrandi par ta présence.
Merci mille fois.
Gilson.
...C'est tout à fait possible, votre poésie est belle. Votre français est "délicieux".
ResponderExcluirMerci à vous, pour votre accueil et votre gentillesse.
Fabienne